Les substances chimiques perturbatrices du système endocrinien seraient “un facteur explicatif complémentaire” à une alimentation trop riche et à une sédentarité accrue de l’épidémie d’obésité et de diabète, démontre le RES dans un rapport. © kikkerdirk Le rapport intitulé ECOD, publié mercredi 14 mars par le Réseau environnement santé (RES), dresse un panorama des […]